Qu'est-ce qu'un DHS ?
Le D.H.S. = Dirk-Hamer-Syndrom = nom donné par le Docteur Ryke Geerd Hamer, au choc reçu lors de la mort de son fils DIRK, qui est à l'origine de son cancer testiculaire. Depuis, ce DHS est devenu le pivot, la charnière de toute la Médecine Nouvelle1.
Tout cancer, toute maladie débute par un DHS, c'est à dire : un choc psychique, conflictuel, dramatique, vécu dans l'isolement. Ce choc est un choc biologique. Un choc inattendu, qui nous prend à contre pied.
Toutes les maladies, même le rhume, l'angine, ont leur DHS . Le DHS, est un choc qui va mettre tout notre organisme en stress, en condition de combat pour trouver la solution, il est donc important et nécessaire pour vivre.
Le DHS est la clé qui nous ouvre la porte de sortie de notre conflit biologique.
Un conflit n'est pas un souci, mais un combat. On hésite, on cherche, on a l'espoir et le désespoir. On perd le sommeil, car, jour et nuit, on cherche la petite ouverture qui va nous conduire à régler le conflit.
Un DHS n'est pas dû à n'importe quel problème. On a tous des problèmes que l'on solutionne au fur et à mesure, et qui ne causent pas de graves maladies.
Le DHS : pour le chercher et le découvrir, on doit se mettre dans la peau du malade, de la personne. On doit prendre son temps, écouter voire plusieurs heures et poser les bonnes questions. Le conflit est toujours vécu dans un passé-récent, quelques mois avant le premier symptôme.
A la suite de ce DHS, le malade reste vulnérable, il doit être très vigilant pour ne pas récidiver. La vulnérabilité est liée au choc qui a été le plus important de sa vie, et par conséquent il
n'a pas besoin de refaire un gros choc (du même ressenti) pour retourner dans le « rail ».
1er exemple
Une femme de 65 ans, ménopausée, droitière, est atteinte d'un cancer des bronches. En parlant avec sa famille, le conflit semblait bien clair. Une nouvelle collègue de travail très jeune et rapide, avait été embauchée par le chef d'entreprise avec qui elle entretenait d'excellents rapports. Et petit à petit cette collègue « grignotait » le travail le meilleur de cette malade. En écoutant cela , on pouvait se dire, « ah ! oui, c'est bien cela, la malade a eu peur dans son territoire. Peur de ne pas être aussi habile que la jeune, et ainsi le patron risquerait de lui enlever certains travaux pour les confier à l'autre. »
Seulement voilà, cette interprétation ne collait pas. D'une part, la date du choc était trop ancienne, car cette femme avait quitté son travail depuis 3 ans, et elle aurait dû être malade avant. D'autre part, le scanner cérébral montrait un conflit de menaces dans le territoire, en balance dont le relais correspondait aux bronches. Dans la logique des choses, ayant quitté son travail depuis 3 ans, nous aurions dû constater sur le scanner une cicatrice.
Pour découvrir le conflit biologique, on doit donc questionner à la façon d'un détective, en prenant tout son temps, avec beaucoup de compassion, d'empathie.
Biologiquement, avec qui cette femme pouvait-elle faire un conflit ?
1) avec ses enfants
2) avec son partenaire.
Je me souviens du regard et du sourire de cette femme, puis les larmes, quand nous avons découvert que c'était la mésentente entre son mari et son gendre qui était le bon conflit biologique, vécu dans l'isolement, et dramatique. Elle ressentait la peur, la menace constante que sa fille et son gendre se séparent, à cause
d'un désaccord entre son mari et son gendre. Elle a ajouté, « j'ai dit souvent : « ils vont me tuer ». Cette femme aimait beaucoup son gendre, elle disait qu'il était comme un fils pour elle, et ces disputes entre lui et son mari lui étaient insupportables, d'autant que c'était pour des « riens ». Elle ne voulait surtout pas que ce gendre si gentil laisse sa fille.
Rassurez-vous, tout c'est bien terminé, il y a eu une bonne occasion de discuter en famille, et tous vivent dans une bonne ambiance familiale.
2ème exemple
Une jeune femme de 38 ans, gauchère, est atteinte d'un cancer du sein gauche ; il s'agit donc d'un conflit avec le partenaire. A la première interrogation elle dit : « je n'ai pas de partenaire, c'est impossible, d'ailleurs j'ai vu d'autres médecins, ils m'ont dit que mon cancer était lié à ma mère, avec qui j'ai des problèmes. »
« D'accord ! mais dans le cas de votre sein gauche, il s'agit d'un conflit de séparation, nous pouvons voir le relais au scanner du cerveau. Que se passe- t-il avec votre mère ? De quelle séparation peut-il s'agir ? Elle répond : « Je ne souffre pas de séparation avec ma mère, je suis obligée de m'occuper d'elle, et c'est dur pour moi, car elle ne comprend pas toujours qu'elle me prive de ma liberté. Et elle est exigeante, mais je suis seule et je dois m'en occuper, elle n'a plus que moi. » A l'écoute de ce conflit, et à la lecture du scanner, elle a effectivement un foyer de Hamer correspondant au sein droit, il s'agit de la glande mammaire dont le relais se situe au cervelet gauche pour le sein droit ; cela n'a rien à voir avec le conflit de séparation (canaux galactophores) et ce conflit est en balance. De temps en temps elle avait des douleurs à ce sein droit, mais pas si importantes qu'au sein gauche.
Alors, nous cherchons ce conflit lié au partenaire, qui touche le sein gauche, (celui-ci est gonflé, rouge et très douloureux), malgré son obstination à dire : « je n'ai pas de partenaire ». A la question : « votre partenaire vous a été arraché de votre sein » ? Elle répond : « Oh oui ! C'est vrai, il est mort dans mes bras. » Puis je lui ai témoigné beaucoup de compassion, nous avons échangé et elle a, pour la première fois, exprimé sa souffrance profonde ressentie au moment du départ de son compagnon. Elle précise : « il était vraiment contre mon sein, puisque nous étions l'un contre l'autre. »
Aujourd'hui cette femme se porte bien.
Chercher et trouver le vrai conflit biologique demande du temps, de l'écoute, de l'empathie et de savoir poser les bonnes questions toujours dans le sens biologique de la nature
Copyright by Dr. med. Ryke Geerd Hamer
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